
-
Ligue 1: OM-Paris SG, indémodable classique
-
Mondiaux d'athlétisme: en or sur 10.000 m, Gressier en mission pour le doublé sur 5.000 m
-
L1: Jean-Bouin apprend à jongler entre Paris FC et Stade français
-
Trump exhorte le ministère de la Justice à agir contre des adversaires politiques
-
Philippines: des milliers de manifestants contre la corruption des projets anti-inondation
-
Sri Lanka: un concours de pêche pour limiter le nombre d'espèces invasives
-
La galaxie trumpiste se réunit pour l'hommage à Charlie Kirk en Arizona
-
Venezuela: l'armée dans les rues pour initier les civils, menaces de Trump
-
Valeurs traditionnelles et hautes technologies: la Russie a relancé l'Intervision, sa version de l'Eurovision
-
Espagne: le Real Madrid reçu cinq sur cinq, Mbappé inarrêtable
-
Foot: Manchester United bat Chelsea (2-1) dans un match riche en péripéties
-
L1: Lens fait tomber la foudre sur Lille et redevient maître du Nord
-
Bernard Arnault sonne la charge contre la taxe Zucman
-
Top 14: Lyon enchaîne, Toulouse craque, centenaire heureux à Clermont
-
Top 14: Lyon enchaîne, centenaire heureux à Clermont, festival d'essais à Chaban
-
Angleterre: le derby pour Liverpool, le soulagement pour Manchester et Amorim
-
Rugby: encore raté pour les Bleues, qui tombent avec honneur en demi-finale du Mondial
-
Mondiaux de cyclisme: Paul Seixas, la découverte en accéléré
-
L'influenceur Jeremstar en garde à vue après une action anticorrida dans les arènes de Nîmes
-
Rugby: encore raté pour les Bleues, qui tombent avec honneur en demi-finales du Mondial
-
Les "yeux de l'Otan" scrutent le ciel pour prévenir toute menace russe
-
F1-Azerbaïdjan: Verstappen brille dans le chaos, McLaren à la peine
-
Allemagne: Kane voit triple pour le quatre à la suite du Bayern
-
Matignon propose à l'intersyndicale une rencontre avec Lecornu mercredi
-
Des Américains domineront le conseil d'administration de TikTok aux Etats-Unis, affirme la Maison Blanche
-
L'Inde s'inquiète des frais astronomiques de visas pour la tech imposés par Trump
-
Mondiaux d'athlétisme: avec Chebet, Kipyegon et Wanyonyi, la soirée en or du demi-fond kényan
-
Bure: une manifestation antinucléaire rassemble des centaines de personnes
-
Athlétisme: Emmanuel Wanyonyi, le berger kényan devenu roi du 800 m
-
Sous les bombardements israéliens à Gaza-ville, la mort ou le difficile exode
-
Afghanistan: le couple de Britanniques âgés libéré par les talibans arrivé à Londres
-
Angleterre: Liverpool vainqueur du derby et de ses cinq premiers matches
-
Plusieurs grands aéroports européens perturbés par une cyberattaque
-
Ligue 1: Geronimo Rulli, le mur marseillais
-
"Un gros challenge": David Guetta s'offre son premier Stade de France en 2026
-
Les Mondiaux de cyclisme au Rwanda, une grande première en Afrique
-
Ligue 1: Lucas Chevalier, déjà classique au PSG
-
Matignon propose à l'intersyndicale une rencontre avec Lecornu mercredi, selon des sources syndicales à l'AFP
-
Italie: le mousseux d'Asti réduit sa production face aux tempêtes des marchés
-
La menace plane à nouveau sur les calèches de Central Park
-
Mondial-2026: en Chine, les droits de douane de Trump plombent les commandes
-
Mondial de rugby: les Bleues pour faire tomber les invincibles et leur plafond de verre
-
Athlétisme : Keely Hodgkinson, "badass" sur la piste sans se prendre au sérieux
-
Afghanistan: un couple de Britanniques âgés libéré par les talibans attendu à Londres
-
Le parquet vénézuélien réclame une enquête de l'ONU sur les bateaux détruits par les Etats-Unis
-
Trump évoque des progrès sur TikTok et annonce qu'il ira en Chine
-
Trump impose des frais de 100.000 dollars par an pour un visa emblématique de la tech
-
Des experts nommés sous Trump sèment les doutes sur les vaccins contre le Covid-19
-
Ligue 1: Tessmann soulage Lyon
-
Argentine: Milei sur la défensive dénonce une "panique politique" visant ses réformes et le peso

Philippines: des milliers de manifestants contre la corruption des projets anti-inondation
Des milliers de Philippins se sont rassemblés dimanche à Manille pour exprimer leur colère face à un scandale de corruption impliquant des infrastructures "fantômes" pour lutter contre les inondations, et qui auraient coûté des milliards de pesos aux contribuables.
Quelque 13.000 personnes se sont réunies dimanche matin dans le parc Luneta de la capitale Manille.
Le président Ferdinand Marcos Jr. appelle à ce que les manifestations restent pacifiques.
"S'il y a un budget pour des projets fantômes, alors pourquoi n'y a-t-il pas de budget pour le secteur de la santé ?", s'interroge Aly Villahermosa, une étudiante infirmière de 23 ans qui qualifie le détournement de fonds publics de "véritablement honteux".
Teddy Casino, président de Bagong Alyansang Makabayan, une alliance d'organisations de gauche, demande le remboursement des fonds et de la prison pour les responsables.
"Les gens descendent dans la rue et expriment leur indignation dans l'espoir de faire pression sur le gouvernement pour qu'il fasse réellement son travail," explique-t-il.
Une foule encore plus importante est attendue plus tard dans la journée sur une avenue historiquement connue lors des manifestations qui avaient chassé Ferdinand Marcos, père du président actuel, en 1986.
Les projets anti-inondation sont au coeur du plus grand scandale de corruption que les Philippines aient connu depuis des décennies, qui a déja précipité la chute du président du Sénat et de Martin Romualdez, président de la chambre basse et cousin du chef d'Etat.
La polémique a fait la Une des journaux, et la question était au centre du discours sur l'état de la nation du président Marcos en juillet, qui a fait suite à plusieurs semaines d'inondations meurtrières dans l'archipel.
Plus tôt ce mois-ci, les propriétaires d'une entreprise de construction ont accusé près de 30 parlementaires et des responsables du Département des Travaux publics et des autoroutes (DPWH) de recevoir des paiements en espèces.
Le préjudice financier s'élèverait à 118,5 milliards de pesos (1,75 milliards d'euros) entre 2023 et 2025, selon le ministère philippin des Finances. Greenpeace a suggère un chiffre proche des 15,3 milliards d'euros.
Pour Elizabeth Abanilla, une octogénaire rencontrée par l'AFP lors d'une récente visite à Bulacan, une province au nord de Manille touchée par les crues, aussi bien les politiciens que les chefs d'entreprises sont coupables.
"Ils n'auraient pas dû remettre (l'argent) avant que le travail soit terminé", estime-t-elle.
D.Cunningha--AMWN