
-
Ligue des champions: les héros parisiens fêtés par leurs supporters
-
Inde: nouvelle commande ferme de 30 gros porteurs Airbus A350 par la compagnie IndiGo
-
Foot: le Parisien Ousmane Dembélé joueur de la saison en Ligue des champions (UEFA)
-
L'Ukraine mène une vaste attaque contre l'aviation russe jusqu'en Sibérie
-
Marche silencieuse en Hongrie contre la loi ciblant médias et ONG
-
Retour des joueurs du PSG: l'excitation monte avant la parade sur les Champs-Elysées
-
F1: l'Australien Oscar Piastri (McLaren) remporte le Grand Prix d'Espagne
-
Le Mexique aux urnes pour élire tous ses juges, à l'ombre du crime
-
Ligue des champions: le PSG de retour en France pour fêter son triomphe
-
Ligue des champions: les Champs-Elysées se préparent à fêter les héros du PSG
-
Tour d'Italie: le pape Léon XIV bénit le peloton avant sa traversée du Vatican
-
Plus de 1.100 migrants arrivés samedi au Royaume-Uni sur de petites embarcations
-
Les réseaux sociaux, accélérateurs des troubles alimentaires et obstacles à la guérison
-
Ligue des champions: l'Inter Milan sur la mauvaise pente
-
Suppression des ZFE: la ministre de la Transition écologique dénonce "cynisme" et "démagogie"
-
Fêtard et imprévisible: Alexander Bublik, un ovni en huitièmes de Roland-Garros
-
Lilia Hassaine (France Inter): avec les écrivains, "j'écoute une langue"
-
Cancers du sein: une simple prise de sang pour intercepter un début de rechute
-
Nucléaire: l'Iran ripostera si les Européens "exploitent" le rapport de l'AIEA à des fins "politiques", prévient Téhéran
-
Gaza: les secours font état d'au moins 31 morts dans des tirs israéliens en marge de distributions d'aide
-
Sacre du PSG en Ligue des Champions: la fête endeuillée par deux morts
-
Les fonds de la Silicon Valley naviguent à vue dans le brouillard de l'IA
-
Ligue des champions: ce jeune PSG peut voir loin
-
Le Mexique aux urnes pour élire tous ses juges, dans l'ombre du crime
-
Nouveau repli général des ventes de voitures neuves en France en mai
-
Célébrations en marge de la Ligue des Champions: la fête endeuillée par deux morts
-
Tour d'Italie: le Mexique fier d'Isaac del Toro, même s'il a craqué près du but
-
Trump revient sur la nomination d'un proche d'Elon Musk à la tête de la Nasa
-
Russie: sept morts dans l'effondrement de deux ponts, enquête sur "des actes de terrorisme"
-
Finale de la Ligue des champions: 11,8 millions de téléspectateurs devant M6 et les chaînes Canal+
-
Gaza: les secours font état de tirs israéliens meurtriers en marge de distributions d'aide
-
Pluies de mousson en Inde: au moins 30 morts, selon un nouveau bilan
-
Ligue des champions: les héros parisiens attendus à Paris pour fêter leur triomphe
-
Célébrations en marge de la Ligue des Champions: 2 morts, 559 interpellations en France
-
Gaza: les secours font état de 22 personnes tuées par des tirs israéliens en marge d'une distribution d'aide
-
Finale de la Ligue des champions: 11,5 millions de téléspectateurs devant Canal+ et M6
-
En Thaïlande, le rêve de mariage d'un couple d'homosexuels chinois exaucé
-
La Pologne tient une présidentielle cruciale pour son rôle dans l'UE
-
Deux ponts s'effondrent en Russie, au moins sept morts
-
NBA: Indiana écarte New York et rejoint Oklahoma City en finale
-
Russie: au moins sept morts dans l'effondrement d'un pont sur un train dans la région de Briansk
-
La Pologne tient une présidentielle critique pour son rôle dans l'UE
-
Le Hamas remet sa réponse à la proposition américaine de trêve à Gaza, "inacceptable" dit Washington
-
C1: après la victoire du PSG, les Marseillais se consolent d'être "à jamais les premiers"
-
Ligue des champions: à Paris, la fête bat son plein après le sacre
-
Ligue des champions: Hakimi, l'apothéose d'une saison exceptionnelle
-
Le PSG forge sa légende en étrillant l'Inter pour gagner sa première Ligue des champions
-
Ligue des champions: Désiré Doué, le jeune prodige dans la cour des très grands
-
Ligue des champions: à Paris, la fête peut commencer après le sacre
-
Ligue des champions: le PSG sacré pour la première fois de son histoire

Ligue des champions: le PSG aux portes de la gloire
Le PSG espère vivre la plus grande soirée de son histoire en remportant enfin la Ligue des champions contre l'Inter Milan samedi à Munich (21h00), 32 ans après le sacre de Marseille, unique vainqueur français de la compétition à ce jour.
L'effervescence est immense dans la capitale, prête à célébrer ses héros lors d'une parade dimanche sur les Champs-Elysées, en cas de victoire. La Tour Eiffel s'illuminera à chaque but parisien et le Parc des Princes sera rempli de supporters devant d'immenses écrans.
Chez les amateurs de sport, jusqu'aux travées de Roland-Garros garnies de maillots du PSG, la finale est sur toutes les lèvres.
Un dispositif "massif" de "5.400" policiers et gendarmes sera par ailleurs déployé à Paris et dans son agglomération pour prévenir toutes violences.
Dans un communiqué, le collectif Ultras Paris (CUP) a appelé les supporters à célébrer "sans débordements": "que l'issue soit une explosion de joie ou une leçon à tirer, restez fiers et exemplaires".
Passé par tant de frustrantes éliminations depuis une décennie, le PSG avait annoncé vouloir changer et il est en passe de réussir. Son équipe jeune et sans stars, depuis le départ l'été dernier de Kylian Mbappé, a dépassé toutes les attentes.
A commencer par celles du président du club Nasser Al-Khelaïfi. Lui qui avait clamé son obsession de gagner la Ligue des champions dès son arrivée à la tête du PSG en 2011 a changé de discours il y a deux ans, conscient qu'un changement de paradigme devait d'abord avoir lieu. Et qu'il faudrait du temps.
- Le PSG au complet -
Mais après une saison en montagnes russes, le PSG a franchi une à une les étapes pour se hisser jusqu'en finale, la deuxième de son histoire après celle de 2020, perdue 1-0 contre le Bayern Munich sans supporters, en temps de pandémie.
Le public s'est peu à peu pris d'affection pour cet effectif constitué de joueurs expérimentés (Ousmane Dembélé en lice pour le Ballon d'Or, Marquinhos, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi) encadrant des jeunes talents qui ont très vite grandi (Désiré Doué, Bradley Barcola, Joao Neves, Willian Pacho).
Tous sont présents et aptes pour le grand soir.
L'attente est d'autant plus fiévreuse que l'équipe emmenée par Luis Enrique est donnée légèrement favorite par les observateurs, les bookmakers et les statisticiens.
Le style de jeu du PSG, fait de possession de balle et de pressing haut, est plus flamboyant que celui de l'Inter Milan, tout en verticalité.
Après un début de saison chaotique et la menace d'une élimination en phase de ligue, l'équipe cornaquée par Luis Enrique a impressionné. Elle a éliminé le cador Liverpool (0-1, 1-0, 4-1 aux tirs au but), avant de contenir Aston Villa (3-1, 2-3) et de faire preuve de maturité pour passer l'obstacle Arsenal (1-0, 2-1).
"Il y a beaucoup de fierté d'être en finale. On a énormément travaillé, ça n'a pas été facile en début de saison", a rappelé Ousmane Dembélé vendredi.
Le match samedi à l'Allianz Arena s'annonce très intense puisque l'Inter Milan non plus n'a pas l'habitude de subir. Et une statistique inouïe plaide pour un match plein de suspense: l'équipe italienne n'a été menée que durant 16 minutes et 38 secondes sur la totalité de la C1, un véritable tour de force.
- "Mouchoir de poche" -
"Nous avons des champions du monde et d'Europe, nous savons comment préparer une finale, nous savons aussi que le match demain va se jouer dans un mouchoir de poche, on espère l'emporter", a déclaré vendredi devant la presse Simone Inzaghi, l'entraîneur de l'Inter.
"Après la saison que nous venons de vivre, nous méritons de remporter cette finale", a appuyé Nicolò Barella.
De son côté, Luis Enrique a promis il y a quelques jours: "C'est l'une des meilleures finales de Ligue des champions de ces dernières années, mais nous serons à la hauteur de l'Inter". Il a prévenu: "Ça n'arrive pas souvent, dans la carrière d'un joueur ou d'un entraîneur, de jouer ce genre de match. Il faut savoir gérer la forte pression".
C'est justement l'une des réussites de l'Espagnol jusque-là: avoir su préparer ses hommes pour les grands rendez-vous, sans les jambes tremblantes qui ont souvent été fatales au club, au cours des "remontadas" subies en 2017, 2019 et 2022.
Le capitaine Marquinhos est le seul joueur restant de l'effectif à avoir vécu tous ces traumatismes, auquel l'intéressé ajoute le rendez-vous manqué de 2020: "J'ai déjà perdu une finale, je sais comme cela fait mal", raconte le Brésilien. Cette fois, "je ne veux pas laisser passer cette opportunité", a dit "Marqui" vendredi.
Une finale perdue, cet Inter Milan en a aussi connu une il y a deux ans contre Manchester City (1-0). "Comme nous, le PSG a perdu une finale récemment", a rappelé Simone Inzaghi. Cette fois, l'une des deux équipes repartira avec la Coupe aux grandes oreilles.
X.Karnes--AMWN