-
Réouverture progressive du site d'Orange à Marseille, situé dans un quartier sensible
-
Au Maroc, 37 morts dans les pires inondations de la dernière décennie
-
JO-2026: Mariah Carey chantera à la cérémonie d'ouverture
-
Le Cambodge accuse la Thaïlande d'avoir bombardé la province de Siem Reap
-
Maroc: 37 morts lors de crues soudaines dans une ville côtière
-
Attentat à Sydney: le Premier ministre australien veut "renforcer la législation sur les armes à feu"
-
Discriminations à l'embauche: 4.000 CV tests envoyés par le gouvernement
-
Procès Péchier: "Il faut des preuves", martèle la défense
-
Appel à la grève au Louvre: le musée n'a pas ouvert ses portes lundi matin
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits à la location
-
L'automobiliste qui avait foncé dans la foule à Liverpool bientôt fixé sur sa peine
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits
-
Le réalisateur Rob Reiner et son épouse retrouvés morts, "apparemment" poignardés
-
Les deux seuls pandas du Japon seront renvoyés en Chine en janvier, selon des médias
-
"La discussion est ouverte" sur la stratégie sanitaire contre la dermatose, annonce Genevard
-
Tirs à l'université américaine Brown: la personne arrêtée va être libérée
-
La mère du journaliste français Christophe Gleizes a adressé une demande de grâce au président algérien
-
Le réalisateur hollywoodien Rob Reiner et sa femme retrouvés morts à leur domicile
-
Chili: une large victoire de l'extrême droite porte José Antonio Kast à la présidence
-
Jimmy Lai, "le plus vieux prisonnier politique de Hong Kong"
-
NBA: Curry piquant avec 48 points mais les Warriors perdent
-
L'Australie en deuil après un attentat antisémite qui a fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Hong Kong: l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai jugé coupable dans son procès pour atteinte à la sécurité nationale
-
L'Australie et Trump saluent des "héros" face à l'attentat de Sydney
-
Un attentat antisémite par un père et son fils fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Budget: dernière ligne droite très incertaine pour Sébastien Lecornu, entre Sénat et Assemblée
-
Dermatose: la ministre de l'Agriculture attendue dans le Sud-Ouest, où les actions se multiplient
-
Procès Péchier: la parole à la défense
-
Accord UE-Mercosur: dernière ligne droite agitée, la France sème le trouble
-
Journée de grève au Louvre, toujours dans la tourmente
-
Le Chili choisit pour président le leader d'extrême droite José Antonio Kast
-
Un attentat "terroriste" et "antisémite" fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Le leader d'extrême droite José Antonio Kast élu président du Chili
-
Espagne: le Real Madrid se reprend face à Alavés, Xabi Alonso souffle
-
L1: Lens finit 2025 en tête, l'OM, l'OL et le Losc terminent bien
-
L1: Dans la souffrance, l'OM bat Monaco et s'accroche au podium
-
Dermatose: les agriculteurs du Sud-Ouest remontés, à la veille d'une visite de Genevard
-
Chili: l'extrême droite aux portes de la présidence 35 ans après Pinochet
-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
Le président ukrainien est arrivé à Berlin pour des pourparlers dimanche et lundi avec des responsables américains et européens en vue de trouver une issue diplomatique à la guerre, et convaincre Washington de renoncer à des concessions territoriales majeures à la Russie.
Américains et Allemands n'ont rien dit de l'agenda, mais selon le tabloïd allemand Bild, Volodymyr Zelensky doit être reçu dimanche par le chancelier Friedrich Merz.
Les émissaires américains, Steve Witkoff et le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, sont également dans la capitale allemande, d'après le journal qui a publié des photos des deux responsables arrivant à l'hôtel Adlon, voisin de l'ambassade des Etats-Unis et de la porte de Brandebourg.
La chancellerie et la représentation américaine, interrogées par L'AFP, ne se sont pas prononcées.
Lors d'une conférence de presse en ligne dimanche, M. Zelensky a dit dimanche souhaiter convaincre les Etats-Unis de soutenir un cessez-le-feu impliquant un gel de la ligne de front, et non la cession à Moscou de tout le Donbass, comme le réclame Moscou.
- Prêt au dialogue -
"Les parties restent sur leurs positions et tentent ensuite de résoudre tous les problèmes communs par voie diplomatique. Je sais que la Russie ne voit pas cela d'un bon œil et j'aimerais que les Américains nous soutiennent sur ce point", a-t-il affirmé.
Kiev a toujours refusé ces concessions territoriales, M. Zelensky se bornant à évoquer cette semaine un éventuel référendum ou élection sur le sujet.
Dimanche, il a dit ne pas avoir encore reçu de réponse américaine à la version du plan pour mettre fin au conflit, amendée cette semaine par Kiev et ses alliés européens.
"Je serai prêt au dialogue qui va commencer aujourd'hui", a-t-il souligné.
Il a réaffirmé que Kiev souhaitait des garanties de sécurité des Européens et de Washington pour dissuader la Russie de l'attaquer de nouveau.
"Nous envisageons un plan-cadre en 20 points, qui se termine par un cessez-le-feu" et "aujourd'hui nous voulons être sûrs qu'il n'y aura pas de répétition de la guerre après un cessez-le-feu", a-t-il insisté.
Il s'agirait d'un mécanisme inspiré de l'article 5 de l'Otan prévoyant une protection mutuelle des pays membres, sans adhésion formelle de l'Ukraine à l'Alliance atlantique, comme le demandait Kiev auparavant.
"C'est déjà un compromis de notre part", a précisé M. Zelensky, car c'est une revendication majeure de Moscou.
Alors que les hostilités se poursuivent, ajoutant de nouvelles victimes aux centaines de milliers de morts et de blessés qu'a fait la guerre, Donald Trump a affiché son impatience cette semaine concernant l'avancée des discussions autour de son plan de règlement du conflit déclenché par l'invasion russe de février 2022.
Kiev et ses alliés européens veulent l'amender, le jugeant trop favorable à Moscou.
M. Zelensky doit s'entretenir lundi à Berlin avec le chancelier Merz, son principal bailleur en Europe, et se rendre à un forum économique germano-ukrainien. Puis, ils seront rejoints par d'autres dirigeants européens.
- L'Europe veut peser -
L'Europe dit soutenir Kiev face à l'impatience de Donald Trump et aux demandes maximalistes de Moscou.
Largement maintenue sur la touche par Washington, elle veut aussi peser sur les pourparlers, arguant que la sécurité européenne est en jeu et que la Russie est une menace continentale.
L'Ukraine est pressée par Washington et Moscou de céder la partie du Donbass encore sous son contrôle, essentiellement dans la région de Donetsk. Il s'agirait d'y créer une "zone économique libre" ou une "zone démilitarisée".
En échange, l'armée russe se retirerait des zones sous son contrôle dans les régions de Soumy, Kharkiv et Dnipropetrovsk (nord, nord-est et centre-est), mais se maintiendrait dans celles de Kherson et Zaporijjia (sud) dont Moscou revendique l'annexion.
La version du plan américain révisée par les Ukrainiens lors de négociations à Genève et en Floride n'a pas été rendue publique. Un texte a également été soumis à Moscou au Kremlin par l'émissaire américain Steve Witkoff.
Ces échangent tendus interviennent à un moment difficile pour l'Ukraine: la présidence a été déstabilisée par un vaste scandale de corruption, l'armée est en recul sur le front et la population est soumise à des coupures de courant à cause des frappes russes.
burs-alf/jpl/cpy
A.Rodriguezv--AMWN